Glencoe Transcript, 31 déc. 1885
Incendie des casernes.
Aux environs de deux heures mardi matin, les gens vivant à proximité des casernes de l’Armée du Salut furent réveillés par le reflet des flammes et quand ils sortirent, ils trouvèrent les casernes en feu.
[...] La plupart estiment que le feu est l’œuvre d’un incendiaire, bien qu’il n’existe pas de preuves en ce sens et que l’aspect de l’incendie ne donnait pas cette impression au moment de sa découverte. La théorie de l’incendie criminel a pour seul appui l’amère hostilité qui s’est manifestée entre les membres de l’Armée et les nombreuses personnes qui étaient soit contre leurs actions soit en manque d’autres moyens d’occuper leur temps que de s’amuser à déranger les réunions de l’Armée et à en importuner les membres.